ÉDIT(h) - De l’encre rouge au sillage : l’art japonais de la signature parfumĂ©e

ÉDIT(h) - De l’encre rouge au sillage : l’art japonais de la signature parfumĂ©e

Et si votre parfum était une empreinte ?

Pas une simple fragrance. Mais un geste. Une trace. Une affirmation silencieuse de qui vous ĂȘtes.

C’est cette idĂ©e, profondĂ©ment japonaise, qui est au cƓur d’ÉDIT(h) — une maison de parfumerie singuliĂšre nĂ©e de l’histoire d’une encre rouge, le shuniku, et d’un sceau ancestral, le hanko.


Le hanko : quand le Japon signe en parfum

Dans la culture japonaise, on ne signe pas avec un stylo. On signe avec un sceau.

Ce petit tampon personnel, appelĂ© hanko, porte le nom ou l’empreinte unique de celui qui l’utilise.

Il est appliquĂ© avec une encre spĂ©ciale — le shuniku — Ă  la couleur rouge carmin, Ă  l’odeur si reconnaissable, Ă©picĂ©e, presque sacrĂ©e.

À chaque contrat, chaque lettre, chaque dĂ©cision, ce sceau vient poser son empreinte.

C’est plus qu’un nom. C’est une affirmation d’identitĂ©.


Transformer une encre en parfum

En 1905, à Tokyo, la maison Nikko Jirushi fabrique ces encres parfumées avec le plus grand soin.

Un siÚcle plus tard, Kentaro Kuzuwa, héritier de la sixiÚme génération, revient au Japon aprÚs une carriÚre dans la musique.

Il se souvient de cette odeur. De cette empreinte sensorielle, familiÚre et oubliée.

Son intuition ? Que l’odeur du shuniku peut devenir un parfum de peau, une empreinte olfactive, aussi intime et personnelle qu’un hanko.

Il fonde alors ÉDIT(h) — une maison de parfumerie qui explore la notion de signature, en traduisant les codes de l’encre en langage olfactif.


Une parfumerie de la trace

Chez ÉDIT(h), chaque parfum est pensĂ© comme un sceau invisible.

Ce n’est pas un accessoire. C’est une ponctuation.

Comme un haĂŻku olfactif que l’on dĂ©pose sur soi.

  • Le flacon, simple et lourd, Ă©voque un encrier moderne.
  • Le bouchon, en zinc massif, poli et brossĂ© Ă  la main, rappelle l’objet d’artisanat.
  • Le parfum, lui, est un dialogue entre traditions asiatiques, Ă©motions contemporaines, et crĂ©ation française.

La collection Remixes : re-signer son histoire

Avec la collection Remixes, ÉDIT(h) pousse plus loin l'idĂ©e de la signature.

Chaque parfum de la premiÚre collection est revisité, recomposé, comme un remix musical.

De nouveaux parfumeurs — souvent europĂ©ens — viennent s’approprier la formule de dĂ©part, la faire rĂ©sonner diffĂ©remment.

On ne change pas l’identitĂ©, on la redessine autrement.


Cinq Remixes, cinq empreintes réinventées

Jardin des Mots

Un souffle vert et musqué, comme une parenthÚse végétale en pleine ville.
Petitgrain, galbanum, rose, mousse cristalline, musc blanc

Kagamigoshi

Un reflet flou, une signature énigmatique entre iris et encens.
Baie de geniÚvre, sauge sclarée, fÚve tonka, vanille

Green Velvet

Un patchouli feutrĂ© et poivrĂ©, aussi enveloppant qu’un haori.
Galbanum, poivre vert, rose turque, musc blanc

Cocktail Lane

Une fraßcheur liquoreuse, vive, texturée comme une calligraphie effervescente.
Concombre, gingembre, basilic, bois de santal

Souchong Journey

Un hommage fumé aux thés voyageurs, à la lenteur du geste.
Thé noir Assam, bergamote, cÚdre, encens


Le parfum comme signature.

Le flacon comme sceau.

Le sillage comme mémoire.

Jardin des Mots
Parfum vert, floral et musqué aux notes de petitgrain et de mousse cristalline.
Kagamigoshi
Parfum énigmatique entre iris et encens, doux et épicé.
Green Velvet
Un monde doux-amer enveloppé dans un vert velours.
Cocktail Lane
Une fraĂźcheur liquoreuse, vive et effervescente.
Souchong Journey
Un hommage fumé aux thés voyageurs.